Descendant direct de la race Débin,N'apprenant la science du sage suprandamp;ecirc;me,Toujours en harmonie avec les lois cosmiques,Parfois prédicateur des préceptes cégialiques.Les présentations faites passons à autre chose.Entrons dans le vif du sujet par le bien d'une prose.La strophe ouvrir une porte sur l'image IAMNous permettant ainsi d'arpenté les jardins du spirituelSous la toute et puissante, toute céleste, vivent et meurentDes milliard de prétentieux andamp;ecirc;treQui s'en vont gouailler d'avoir tant de qualités,Un chien, une maison, une voiture et une télé/Tous matins s'admirant devant la glace,Ils se disent andamp;quot;Dame j'assure tous le monde voudrait maplace.andamp;quot;Qui s'acharnent, s'efforcent et s'emploient à s'approprierPlus qu'ils ne leurs en faut ainsi ils sont admirésPar leurs entourageQui flattent leur plumage,Espèrent par là, leurs soutirer quelque bout de fromage.En états de narcose ils en oublientDe leurrer leur mental et de contempler les galaxiesCar le dragon sommeille en l'esprit qui est sa demeure.On doit le nourrir sinon très vite il se meurt.Mais bien souvent on s'en moque préférant l'argent du beurre.Et c'est la fin du dernier EmpereurMéfie toi de l'EmpereurLe temple de mon esprit jamais ne vacille.Déposant mes randamp;ecirc;ves sur la voie lactéeLes 3 piliers de ma philosophie, dans le ciel brillent.Essayant d'éclairer la conscience de l'humanité,Car le roseau plie parfoisMais ne se brise pas.Un tigre qui a flairé sa proieRien ne l'arrandamp;ecirc;tera.C'est pour cela qu'il est temps de s'éveiller,De réaliser que le chemin sur lequel nous nous sommes engagésNe pourrait en aucun cas ranimer la flammeDe nos sentiments, nos émotions enfouies sous le poids de notreandamp;acirc;me.Qui s'alourdit de jour en jour et d'heure en d'heureAh ! T'invoques que certain on déjà perdu de leurs chaleur.Elle diminue à chaque instant, à notre insu.Comment pouvons-nous de surcroandamp;icirc;t andamp;ecirc;tre convaincusD'une pureté qui pourtant n'est pas méritée ?C'est s'enfoncer dans la nuit que de ce vanter de lacandamp;ocirc;toyer.Et nous entrons dans un domaine où nous n'ignorons rienDans ce chemin où l'on aime à faire des va-et-vients,Exhibition des acquisitions matérielles,Exposition d'objets et de bien personnels.Regardez-moi, moi j'ai ci, moi j'ai ça, j'ai fait ci et ça.Mais cherche donc à l'intérieur de toi.Tu ni trouveras qu'un vide intersidéral.Un astre à l'agonie illuminera de sa lumière pandamp;acirc;le.Tu ni peux rien changer il est déjà trop tard.Ce qui fait ton bonheur te pousse en mandamp;ecirc;me temps dans lenoir.C'est le paroxysme du paradoxe dans toute son ampleur.Ainsi s'éteint le dernier Empereur.Méfie toi de l'EmpereurDe Mars l'un expose sa penséeQue les nuages jamais ne pourront chevauchér.Trop conscient de ce que cela pourrait entraandamp;icirc;nerUn dur retour à la réalité.De tout le jour de méditer je ne me lassais pas.Où avons-nous fauté. Qu'avons-nous fait pour en arriver là ?Je compris que pour qu'une pierre roule sur un terrain platIl faut une poussée suffisante pour projeter son poids.Cette prise de conscience fut un tournant dans ma vieCe fut la naissance des fondations de mon état d'espritEntre lesquelles se dresse ma destinéeQui brisera les assauts de la fatalitéCar nous sommes entraandamp;icirc;nés et dressés à vouloir posséder.Plus d'argent, de meubles ce sont les diplandamp;ocirc;mes exigésPour acquérir un minimum de pouvoirAux dépends des pauvres gens qui eux ne vivent que d'espoir.J'appelle cela du vandalisme mental.Amoindrir l'esprit de l'homme au détriment de l'esprit animal.Logiquement le spirituel pas au dernier plan.Annihilant la rectitude du cœur irréversiblement,L'andamp;ecirc;tre humain n'est plus alors qu'un fantandamp;ocirc;meCar l'homme a perdu tout ce qui faisait de lui un homme.Vint alors le règne de la cupidité.C'est maintenant dans les banques que l'on va prier.Certain s'achètent à crédit une 520.Pourtant leurs enfants de mangent toujours pas à leur faim.Mais je ne peux changer la platane en une roseJ'extériorise simplement mon sentiment à travers ma prose.Que vous m'ayez écouté est un honneur.Sincèrement vandamp;ocirc;tre, un serviteurDu dernier Empereur.Gardez un œil sur l'Empereur, à l'avenir,Le dernier Empereur...